L’anémone et l’ancolieOnt poussé dans le jardinOù dort la mélancolieEntre l’amour et le dédain
Il y vient aussi nos ombresQue la nuit dissiperaLe soleil qui les rend sombresAvec elles disparaîtra
Les déités des eaux vivesLaissent couler leurs cheveuxPasse il faut que tu poursuivesCette belle ombre que tu veux