La Roche du Caucase, où du vieil Prométhée L’aigle vengeur sans fin va le cœur becquetant, Et la Roche où Sisyphe en vain va remontant Lâchant toujours au haut sa pierre en vain portée, Vont à plusieurs amants dont l’âme est tourmentée, Ou bien se feint de l’être, un sujet apportant, Montrant qu’ils vont encor la peine surmontant, Qui aux deux roches fut à
ces deux arrêtée. Moi qui ne veux point feindre un tel mal, pour objet De mes yeux, pour seul but de mon cœur, pour sujet De mes vers, j’ai la roche où d’une ardeur extrême Je prétends tout ainsi qu’on ferait au sommet Du rocher épineux où la vertu l’on met : Aussi si j’y atteins, j’atteins la vertu même.
À sa Muse Afin qu’en cet ouvrage ... Allez, mes vers, enfants ... Amour vomit sur moi sa fureur Aux communes douleurs ... Avec ton cher portrait ... Celle qui est au vif ... Chaque temple en ce jour ... Combien de fois mes vers ... Comme un qui s’est perdu ... De moi-même je suis dévotieux De quel soleil, Diane ... Des astres, des forêts ... Des maux qu’un désespoir ... Dès que ce Dieu ... Des trois sortes d’aimer ... En ce jour que le bois, le champ En mon cœur, en mon chef ... En quelle nuit, de ma lance ... En tous maux que peut faire ... Encor que toi, Diane ... Épitaphe du Membre viril ... Et quoi ? tu fuis Amour ? ... Il faut que pour ton mai ... J’aime le vert laurier ... Je m’étais retiré du peuple ... Je me trouve et me perds ... Je meure si jamais ... Je ne suis de ceux-là ... Je te rends grâce, Amour ... Je vivais mais je meurs ... Jusqu’aux autels ... La Roche du Caucase ... Madame, c’est à vous ... Madame, j’ai regret ... Maudirai-je, Madame ... Même effet qu’ont les vents ... Ô Toi qui as et pour mère Ô traîtres vers ... Ou soit que la clarté du soleil ... Par quel sort, par quel art ... Passant dernièrement des Alpes Plutôt la mort me vienne ... Pourrais-je voir l’heureuse ... Quand ton nom je veux faire ... Que n’ai-je mes esprits ... Quel heur, Anchise ... Quelle humeur, mais quel crime Quelque lieu, quelque amour ... ... qui voudra cet Amour ... Sans pleurer ... Saphon, la docte Grecque ... Si quand tu es en terre ... Si quelqu’un veut savoir ... Tout cet hiver par l’âpre ...
Afin qu’en cet ouvrage ...
En ce jour que le bois, le champ ...
Je te rends grâce, Amour ...
Comme un qui s’est perdu ...
Des maux qu’un désespoir ...
Madame, j’ai regret ...
En mon cœur, en mon chef ...
Quelque lieu, quelque amour ...
Passant dernièrement des Alpes ...
Sans pleurer ...
Celle qui est au vif ...
La Roche du Caucase ...
Que n’ai-je mes esprits ...
Allez, mes vers, enfants d’un deuil
Des astres, des forêts ...
Amour vomit sur moi sa fureur ...
Madame, c’est à vous ...
Plutôt la mort me vienne dévorer ...
Saphon, la docte Grecque ...
Si quand tu es en terre ...