Ô Toy par qui jour et nuit je soupire, S'il ne te chaut de mon mal qui s'empire, Ainsi disoy-je, et tu me dis, Amant Crein qu'un baiser n'enflamme double braize. |
Jean-Antoine de Baïf
Jean-Antoine de Baïf - Poèmes
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Ô Toy par qui jour et nuit je soupire, S'il ne te chaut de mon mal qui s'empire, Ainsi disoy-je, et tu me dis, Amant Crein qu'un baiser n'enflamme double braize. |
Jean-Antoine de Baïf
Jean-Antoine de Baïf - Poèmes
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