Quel heur, Anchise, à toi, quand Vénus sur les bords Du Simoente vint son cœur à ton cœur joindre ! Quel heur à toi, Pâris, quand Œnone un peu moindre Que l’autre, en toi berger
chercha pareils accords ! Heureux te fit la Lune, Endymion, alors Que tant de nuits sa bouche à toi se vint rejoindre ! Tu fus, Céphale, heureux, quand l’amour vint époindre L’Aurore
sur ton veuf, et pâle, et triste corps ! Ces quatre, étant mortels, des Déesses se virent Aimés, mais leurs amours assez ne se couvrirent. Au silence est mon bien : par lui, Maîtresse,
à toi Dans mon cœur plein, content et couvert, je n’égale Vénus, Œnone, Lune, Aurore, ni à moi Leur Anchise, Pâris, Endymion, Céphale.
À sa Muse Afin qu’en cet ouvrage ... Allez, mes vers, enfants ... Amour vomit sur moi sa fureur Aux communes douleurs ... Avec ton cher portrait ... Celle qui est au vif ... Chaque temple en ce jour ... Combien de fois mes vers ... Comme un qui s’est perdu ... De moi-même je suis dévotieux De quel soleil, Diane ... Des astres, des forêts ... Des maux qu’un désespoir ... Dès que ce Dieu ... Des trois sortes d’aimer ... En ce jour que le bois, le champ En mon cœur, en mon chef ... En quelle nuit, de ma lance ... En tous maux que peut faire ... Encor que toi, Diane ... Épitaphe du Membre viril ... Et quoi ? tu fuis Amour ? ... Il faut que pour ton mai ... J’aime le vert laurier ... Je m’étais retiré du peuple ... Je me trouve et me perds ... Je meure si jamais ... Je ne suis de ceux-là ... Je te rends grâce, Amour ... Je vivais mais je meurs ... Jusqu’aux autels ... La Roche du Caucase ... Madame, c’est à vous ... Madame, j’ai regret ... Maudirai-je, Madame ... Même effet qu’ont les vents ... Ô Toi qui as et pour mère Ô traîtres vers ... Ou soit que la clarté du soleil ... Par quel sort, par quel art ... Passant dernièrement des Alpes Plutôt la mort me vienne ... Pourrais-je voir l’heureuse ... Quand ton nom je veux faire ... Que n’ai-je mes esprits ... Quel heur, Anchise ... Quelle humeur, mais quel crime Quelque lieu, quelque amour ... ... qui voudra cet Amour ... Sans pleurer ... Saphon, la docte Grecque ... Si quand tu es en terre ... Si quelqu’un veut savoir ... Tout cet hiver par l’âpre ...
Je te rends grâce, Amour ...
Je vivais mais je meurs, et mon cœur ...
Madame, j’ai regret ...
Pourrais-je voir l’heureuse ...
Jusqu’aux autels ...
Par quel sort, par quel art ...
En ce jour que le bois, le champ ...
Je meure si jamais ...
Quelque lieu, quelque amour ...
Épitaphe du Membre viril de Frère Pierre
Allez, mes vers, enfants d’un deuil
Afin qu’en cet ouvrage ...
Tout cet hiver par l’âpre et l’aigre
Des astres, des forêts ...
Recherche qui voudra cet Amour
Si quelqu’un veut savoir qui me lie
Je ne suis de ceux-là ...
Madame, c’est à vous ...
Maudirai-je, Madame ...
Dès que ce Dieu ...